Stop à l'acidité du corps
"Un corps alcalin est un corps sain"
le cancer est causé par une respiration cellulaire affaiblie en
raison du manque d’oxygène au niveau cellulaire et que le cancer se développe
dans un milieu anaérobie (sans oxygène) ou des conditions acides.
En d’autres termes, la principale cause du cancer est l’acidité
du corps humain.
Les cellules normales ont
besoin d’oxygène.
par contre les cellules cancéreuses ont besoin de la fermentation.
Une fermentation excessive acidifie la cellule et abaisse son pH et détruit la
capacité de l’ADN et de l’ARN de contrôler la division cellulaire.
Le cancer apparaît sous la forme d’un revêtement externe de la
cellule en croissance rapide, avec un noyau de cellules mortes.
Le
sucre est l’aliment préféré du cancer
Le sucre nourrit le cancer et le corps meurt de
faim, en essayant de nourrir le cancer.
La cause principale du cancer est le remplacement de la
respiration de l’oxygène (oxydation du sucre) dans les cellules normales de
l’organisme par la fermentation du sucre ».
Donc pour un cancéreux l’une des meilleures choses à faire est de supprimer Le sucre, le carburant du cancer
le sucre (qui peut être caché dans les
aliments transformés) crée un environnement qui favorise la reproduction de
virus, de bactéries, de champignons et de cancers en détruisant le système immunitaire.
supprimez le sucre, le corps ne peut pas
développer ni les maladies ni les cancers.
l'amer tue le cancer
Dans les années 50 le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils ont émis l'hypothèse que le cancer pourrait résulter d’une carence en vitamines.
Et ils ont trouvé que Les amandes amers -les amendes amers des abricots les pépins des pommes - les concombres amers - les armoises الشيح -... tous ces amers tuent les cancers dans un temps record
Pourquoi?
Ils ont trouvé qu'ils sont riches en nitrilosides ! qu'ils l'ont appelé “Vitamine B17” plus tard.
Les nitrilosides sont particulièrement répandues dans les graines d’abricots, les pêches, les pommes, le millet, les fèves germées, le sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, y compris les amandes amères
Inclure dans notre alimentation:
** des épices et des plantes, comme le curcuma et
le gingembre qui
sont des anti-inflammatoires, avoir suffisamment de vitamine D, réduire le stress avec
d’autres mesures basées sur un mode de vie sain, peut réellement réduire le
risque de cancer à la moitié.
** les graisses saines pour la prévention du cancer on trouve
les oméga- 3 et oméga- 9.
l’oméga- 3, peut ralentir efficacement la croissance tumorale
dans les cancers sensibles aux œstrogènes, tels que le cancer du sein, de la
prostate et le cancer du côlon.
Pourquoi vous devez
avoir un corps alcalin ?
Un environnement acide est égale à l’inflammation. Au fil du
temps, un faible pH conduit au développement de nombreuses maladies. La plupart
des cancers et des maladies chroniques se développent dans un environnement
acide.
La naturopathe Ann Boroch recommande de passer à
un régime alimentaire plus alcalin. Elle souligne que les cinq choses que nous
devrions tous éviter ( ou réduire autant que possible ) afin de garder un pH
optimal ( entre 7,0 et 7,4 ) sont :
-Une consommation excessive de viande rouge
-La caféine
-Le sucre ( lire l’article la cause principale du cancer )
-L’alcool
-Le stress
-La caféine
-Le sucre ( lire l’article la cause principale du cancer )
-L’alcool
-Le stress
Elle affirme que ces facteurs transforment votre corps en un environnement acide et causent l’inflammation.
Vous avez donc besoin de redevenir plus alcalin.
Vous pouvez le faire en
mangeant des aliments qui vous permettront de revenir à l’équilibre.
Les changements n’ont pas besoin d’ être aussi complexe que
certains pourraient le penser.
Les changements alimentaires pour avoir un corps plus
alcalin et en bonne santé
Mangez plus de légumes. Votre régime devrait être composé de 60
% de légumes. Cela ne signifie pas nécessairement de manger des légumes crus.
Votre nourriture peut être cuite. En fait, le tractus digestif
de certaines personnes ne peut pas supporter des aliments crus.
Les légumes à feuilles vert foncé sont particulièrement connus pour leur potentiel alcalinisant.
Mangez des fruits alcalinisants comme les baies.
Boroch ne croit pas que vous devriez boire de l’eau alcaline
toute la journée.
Après tout, nous avons
besoin d’acide pour décomposer les aliments.
Vous pouvez réduire votre stress en pratiquant la relaxation, le
sport ou toute autres activité.
L’alcalinisation de l’organisme semble être un choix très sage
pour rester en bonne santé.
Les aliments les plus riches en antioxydants :
(classés
en ordre décroissant de teneur)
Vitamine C
−
Cassis − Persil − Poivron cru − Raifort râpé − Kiwi − Papaye − Citron −
Ciboulette − Chou-fleur − Cresson − Fraise − Chou rouge cru − Brocoli cuit −
Chou de Bruxelles − Orange − Jus d'orange / de citron − Groseille −
Pamplemousse − Pissenlit − Mandarine / Clémentine − Chou vert − Melon − Prune
Caroténoïdes
− Carotte − Pissenlit − Persil −
Épinard − Abricot frais / sec − Cresson − Jus de carotte − Blette − Brocoli −
Melon − Mangue − Chicorée − Foie de génisse − Pot-au-feu − Laitue − Sauce
tomate
Flavonoïdes
− Persil
− Ciboulette − Chou frisé − Laitue − Oignon − Endive − Poireau − Céleri −
Haricot vert − Chou de Bruxelles − Brocoli − Tomate − Orange − Pamplemousse −
Myrtille − Cerise − Raisin − Cassis − Abricot − Mûre − Pomme − Groseille –
Framboise
LES CAPACITES
ANTIOXYDANTES
Antioxydant Valeur
Aliments
Quercétine 4,7 Oignons, peau des pommes, baies, raisin noir, thé, brocolis
Cyanidine 4,4 Raisin,framboises fraises
Delphinidine 4,4 Peau d’aubergine
Épigallocatéchine 3,8
thés
Lycopène 2,9 Tomates
(Épi)catéchine 2,4
Raisin noir, vin rouge
Acide P-coumarique
2,2 Raisin blanc, tomates, épinards, chou, asperges
Lutéoline 2,1 Citrons, olives, céleri,
poivrons rouges
Bêta-cryptoxanthine
2,0 Mangue, papaye, pêches, paprika, oranges
Bêta-carotène 1,9
Carottes, patate douce, tomates, paprika, légumes verts
Taxifoline 1,9 Agrumes
Acide férulique 1,9
Céréales, tomates, épinards, chou, asperges
Œnine 1,8 Raisin
noir, vin rouge
Lutéine 1,5 Banane,
écorce de satsuma, jaune d’œuf, légumes verts
Apigénine 1,5 Céleri,
persil
Zéaxanthine 1,4 Paprika, écorce de satsuma
Chrysine 1,4 Peau des
fruits
Alpha-carotène 1,3
Tomates, carottes, légumes verts
Campférol 1,3
Endives, poireaux, brocolis, pamplemousse, thé
acide caféique 1,3
Raisin blanc, olives, épinards, chou, asperges
Acide chlorogénique 1,3 Pommes, poires,
cerises, prunes, tomates, pêches
Vitamine C 1,0
Fruits, légumes
Vitamine E 1,0
Céréales, fruits secs,
huile Échinénone 0,7 Armoise
Naringénine 0,24
Zeste des agrumes
Astaxanthine 0,03 Saumon, colorants
alimentaires, crabe
Canthaxanthine 0,02
Carottes, chou frisé, colorants alimentaires, poivrons rouges
Adapté de Biochemical
Society Transactions 24 (1996) : 790-794. Le thé vert, qui présente l’une des
plus fortes valeurs antioxydantes connues, est actuellement utilisé dans les
tests cliniques.
POTENTIEL
ANTIOXYDANT DE CERTAINS LÉGUMES
Légume Potentiel antioxydant
Ail 19,4 Chou frisé
17,7 Épinards 12,6 Choux de Bruxelles 9,8 Alfafa 9,3 Bouquets de brocolis 8,9
Betterave 8,4 Poivron rouge 7,1 Oignon 4,5 Maïs 4,0 Aubergine 3,9 Chou-fleur
3,8 Pomme de terre 3,1 Patate douce 3,0 Chou 3,0 Laitue 2,6 Carotte 2,1 Haricot
vert 2,0 Potiron 1,5 Laitue iceberg 1,2 Céleri 0,6 Concombre 0,5
Tableau adapté du
Journal of Agricultural and Food Chemistry 44 (1996) : 3426-3431.
POTENTIEL ANTIOXYDANT DE CERTAINS FRUITS
Fruit
Potentiel antioxydant
Fraise 15,36 Prune 9,49 Orange 7,50 Raisin
noir 7,39 Kiwi 6,02 Pamplemousse rose 4,83 Raisin blanc 4,46 Banane 2,21 Pomme
2,18 Tomate 1,89 Poire 1,34 Melon 0,97
Tableau
adapté du Journal of Agricultural and Food Chemistry 44 (1996) : 701-705.
Où trouver les vitamines ? :
Il y a 13
vitamines dans la nature et nous avons besoin de chacune pour vivre. On les
trouve dans l’alimentation, à condition qu’elle soit suffisamment variée :
vitamine B9 (acide folique) : céréales, pain complet,
légumes à feuilles, tomates, fromages fermentés, viande, foie..
vitamine B1 : céréales, légumes, fruits secs, abats, œufs…
vitamine B12 : poisson, viande, œufs, foie, fromages,
lait…
vitamine B6 : poissons, fruits de mer, céréales, noix,
patates douces, pruneaux….
vitamine C : fruits (kiwis, agrumes, fraises..),
légumes (brocolis, chou vert, épinards..)
vitamine A : fruits rouges, carottes, épinards frais,
foie, œufs..
vitamine E : lait entier, beurre, œufs, huiles
végétales, margarines végétales, germes de céréales, épinards, choux
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Rôle des minéraux:
Les minéraux sont des substances de soutien indispensables au bon fonctionnement
de notre organisme mais n'apportent pas d'énergie.
Les minéraux et oligo-éléments:
Ces éléments sont constitués de deux catégories : les principaux minéraux (calcium, phosphore, magnésium, potassium, sodium et chlore) et les oligo-éléments (chrome, cobalt, cuivre, iode, fer, manganèse, sélénium, zinc et plusieurs autres).
Lorsque l’on fait référence aux minéraux, il est important de comprendre le principe de synergie. La synergie sous-entend que chacun des minéraux influence l’effet qu’auront tous les autres minéraux. Chacun est nécessaire en une quantité qui lui est propre pour un fonctionnement optimal.
La nature a mis au point plusieurs méthodes pour conserver le niveau de nombreux minéraux à des niveaux appropriés dans l’organisme. Le tractus digestif absorbera davantage d’un minéral ou oligo-élément si le corps en présente une carence. Par exemple, l’organisme d’une personne souffrant d’anémie causée par une carence en fer absorbera davantage de fer de son alimentation. Un surplus d’un minéral ou oligo-élément donné sera excrété par le biais des reins ou des intestins.
Bon nombre de minéraux sont forcés à faire concurrence à d’autres minéraux pour maintenir leur équilibre. Le fer et le cuivre, par exemple, sont transportés par une protéine appelée la transferrine. Ces deux minéraux luttent l’un contre l’autre pour s’accaparer la quantité limitée de transferrine disponible.
Calcium – pour des os et des dents résistants:
Le calcium est l’un des composants qui est le plus présent dans l’organisme. Dans les os et les dents, le calcium est jumelé au phosphore pour former la structure cristalline qui donne aux os leur résistance. Le calcium est indispensable pour la contraction des muscles, l’envoi des messages au système nerveux, l’activation des enzymes, la coagulation du sang et le maintien de l’équilibre des liquides.
Une carence en calcium constitue l’un des facteurs du rachitisme (voir vitamine D) et de l’ostéoporose, maladie caractérisée par la diminution de la trame protéique des os (os moins denses et plus fragiles). À lui seul, cependant, le calcium sera incapable de bâtir des os résistants; le calcium agit en synergie avec le magnésium et la vitamine D et ne pourra être absorbé en l’absence de ses deux partenaires. De nombreux autres minéraux tels que le bore, le manganèse, le cuivre, le zinc et le phosphore, en plus des nombreuses vitamines telles que celles du complexe B et les protéines sont nécessaires pour la formation des os. Les hormones ont aussi une influence sur la densité des os.
Parmi les meilleures sources alimentaires de calcium on retrouve les produits laitiers, les poissons en conserve comme le saumon ou les sardines avec les arêtes et les légumes feuillus vert foncé comme le chou frisé et les feuilles de chou vert. Les épinards regorgent de calcium, mais ce dernier est mal absorbé. Les amandes, les graines de tournesol et les boissons enrichies de soja en sont aussi de bonnes sources.
Iodure – fonctionnement normal de la glande thyroïde, cheveux, peau, ongles et dents en santé.
Le magnésium – production d’énergie et santé du cœur
Environ 60 % du magnésium dans l’organisme se trouve dans le tissu osseux; le reste se trouve dans les muscles (surtout le muscle cardiaque) et les tissus mous. Cet oligoélément fait partie de plus de 300 enzymes. Il est indispensable pour assurer la transformation des aliments en énergie, la formation de l’ADN, la contraction des muscles et impulsions nerveuses, la synthèse des protéines et le fonctionnement de nombreuses hormones.
Les meilleures sources alimentaires de magnésium sont les grains entiers et les légumineuses, les légumes feuillus verts et les graines de tournesol. Plus de
80 % du magnésium des grains entiers se perd au moment de la transformation et n’est pas rajouté quand la farine blanche est enrichie. De plus, des niveaux élevés de calcium peuvent diminuer l’absorption du magnésium.
Les signes de carence en magnésium incluent la fatigue, la confusion, les crampes musculaires, l’irritabilité et les troubles cardiaques. De faibles niveaux de magnésium peuvent augmenter la pression artérielle et les crampes menstruelles ainsi que les risques de maladies coronariennes et de calculs rénaux.
Le phosphore – agit de concert avec le calcium pour renforcer les os et les dents.
Le phosphore est un élément très polyvalent qui remplit une grande variété de rôles dans l’organisme. La plupart du phosphore se trouve dans les os, où il agit de concert avec le calcium pour donner de la résistance et de la rigidité aux os et aux dents. Le phosphore constitue une principale composante de l’ADN, de l’ARN et des membranes cellulaires. Il est aussi essentiel à la croissance, l’entretien et la réparation de tous les tissus, ainsi qu’à la synthèse des protéines. Le phosphore est en fait le « P » dans ATP (adénosine triphosphate), la source d’énergie préférée des cellules.
La plupart des gens consomment deux fois la quantité de phosphore requise. Alors que les produits laitiers fournissent une source de calcium très absorbable, leur teneur en phosphore est aussi très élevée. Un apport en phosphore trop élevé peut faire en sorte que le calcium soit soutiré des os, ce qui résulte en une perte nette en calcium.
Parmi les sources alimentaires nutritives, on retrouve les viandes, le poisson, la volaille, les œufs et les produits laitiers.
Le sodium, le potassium et le chlore – Maintenir l’équilibre hydroélectrolytique
On parle toujours de ces trois minéraux ensemble, car ils agissent ensemble en tant que système appelé électrolytes.
Les électrolytes sont des particules chargées appelées ions qui conduisent l’électricité lorsque dissoutes dans l’eau. Les électrolytes allument les étincelles qui font que nos muscles se contractent et que nos fibres nerveuses envoient des messages.
Les électrolytes travaillent toujours en équipes de deux : une paire d’ions portant une charge électrique négative est jumelée à une paire portant une charge électrique positive. Le sodium et le potassium sont des ions à charge positive qui attirent le chlore, dont la charge est négative. Ensemble, ils contrôlent le va-et-vient de l’eau dans les cellules. Ces minéraux travaillent aussi à maintenir l’équilibre hydroélectrolytique entre les cellules et le sang, l’équilibre acide-base dans le sang, le bon fonctionnement du cœur, des reins et de la glande surrénale.
L’organisme fonctionne mieux quand il contient plus de potassium que de sodium. La plupart des fruits et légumes à l’état naturel contiennent au moins 50 fois plus de potassium que de sodium. Malheureusement, la plupart des gens consomment deux fois plus de sodium que de potassium. Le sodium se faufile pendant la cuisson et par le biais des aliments préparés, de la nourriture de restaurant, des condiments et de la fameuse manie de saler les aliments une fois à table.
Le fer – formation des globules rouges
Cet oligo-élément reste littéralement au beau milieu de la molécule d’hémoglobine des globules rouges, transportant l’oxygène à toutes les cellules de l’organisme. Il reçoit aussi le dioxyde de carbone (déchet rejeté par les tissus), le retournant aux poumons qui l’expirent. Le fer agit aussi de concert avec plusieurs enzymes impliquées dans la production d’énergie et la synthèse de l’ADN.
Il existe deux formes de fer. On les retrouve dans de nombreux aliments.
Le fer relié à l’hème, que l’on retrouve principalement dans les viandes rouges et le foie, est celui qui s’absorbe le mieux.
On retrouve le fer non relié à l’hème dans les grains entiers, les sardines, les fruits séchés, les feuillus vert foncé, les œufs, le jus de pruneaux, les huîtres et de nombreux autres aliments.
Ces éléments sont constitués de deux catégories : les principaux minéraux (calcium, phosphore, magnésium, potassium, sodium et chlore) et les oligo-éléments (chrome, cobalt, cuivre, iode, fer, manganèse, sélénium, zinc et plusieurs autres).
Lorsque l’on fait référence aux minéraux, il est important de comprendre le principe de synergie. La synergie sous-entend que chacun des minéraux influence l’effet qu’auront tous les autres minéraux. Chacun est nécessaire en une quantité qui lui est propre pour un fonctionnement optimal.
La nature a mis au point plusieurs méthodes pour conserver le niveau de nombreux minéraux à des niveaux appropriés dans l’organisme. Le tractus digestif absorbera davantage d’un minéral ou oligo-élément si le corps en présente une carence. Par exemple, l’organisme d’une personne souffrant d’anémie causée par une carence en fer absorbera davantage de fer de son alimentation. Un surplus d’un minéral ou oligo-élément donné sera excrété par le biais des reins ou des intestins.
Bon nombre de minéraux sont forcés à faire concurrence à d’autres minéraux pour maintenir leur équilibre. Le fer et le cuivre, par exemple, sont transportés par une protéine appelée la transferrine. Ces deux minéraux luttent l’un contre l’autre pour s’accaparer la quantité limitée de transferrine disponible.
Calcium – pour des os et des dents résistants:
Le calcium est l’un des composants qui est le plus présent dans l’organisme. Dans les os et les dents, le calcium est jumelé au phosphore pour former la structure cristalline qui donne aux os leur résistance. Le calcium est indispensable pour la contraction des muscles, l’envoi des messages au système nerveux, l’activation des enzymes, la coagulation du sang et le maintien de l’équilibre des liquides.
Une carence en calcium constitue l’un des facteurs du rachitisme (voir vitamine D) et de l’ostéoporose, maladie caractérisée par la diminution de la trame protéique des os (os moins denses et plus fragiles). À lui seul, cependant, le calcium sera incapable de bâtir des os résistants; le calcium agit en synergie avec le magnésium et la vitamine D et ne pourra être absorbé en l’absence de ses deux partenaires. De nombreux autres minéraux tels que le bore, le manganèse, le cuivre, le zinc et le phosphore, en plus des nombreuses vitamines telles que celles du complexe B et les protéines sont nécessaires pour la formation des os. Les hormones ont aussi une influence sur la densité des os.
Parmi les meilleures sources alimentaires de calcium on retrouve les produits laitiers, les poissons en conserve comme le saumon ou les sardines avec les arêtes et les légumes feuillus vert foncé comme le chou frisé et les feuilles de chou vert. Les épinards regorgent de calcium, mais ce dernier est mal absorbé. Les amandes, les graines de tournesol et les boissons enrichies de soja en sont aussi de bonnes sources.
Iodure – fonctionnement normal de la glande thyroïde, cheveux, peau, ongles et dents en santé.
Le magnésium – production d’énergie et santé du cœur
Environ 60 % du magnésium dans l’organisme se trouve dans le tissu osseux; le reste se trouve dans les muscles (surtout le muscle cardiaque) et les tissus mous. Cet oligoélément fait partie de plus de 300 enzymes. Il est indispensable pour assurer la transformation des aliments en énergie, la formation de l’ADN, la contraction des muscles et impulsions nerveuses, la synthèse des protéines et le fonctionnement de nombreuses hormones.
Les meilleures sources alimentaires de magnésium sont les grains entiers et les légumineuses, les légumes feuillus verts et les graines de tournesol. Plus de
80 % du magnésium des grains entiers se perd au moment de la transformation et n’est pas rajouté quand la farine blanche est enrichie. De plus, des niveaux élevés de calcium peuvent diminuer l’absorption du magnésium.
Les signes de carence en magnésium incluent la fatigue, la confusion, les crampes musculaires, l’irritabilité et les troubles cardiaques. De faibles niveaux de magnésium peuvent augmenter la pression artérielle et les crampes menstruelles ainsi que les risques de maladies coronariennes et de calculs rénaux.
Le phosphore – agit de concert avec le calcium pour renforcer les os et les dents.
Le phosphore est un élément très polyvalent qui remplit une grande variété de rôles dans l’organisme. La plupart du phosphore se trouve dans les os, où il agit de concert avec le calcium pour donner de la résistance et de la rigidité aux os et aux dents. Le phosphore constitue une principale composante de l’ADN, de l’ARN et des membranes cellulaires. Il est aussi essentiel à la croissance, l’entretien et la réparation de tous les tissus, ainsi qu’à la synthèse des protéines. Le phosphore est en fait le « P » dans ATP (adénosine triphosphate), la source d’énergie préférée des cellules.
La plupart des gens consomment deux fois la quantité de phosphore requise. Alors que les produits laitiers fournissent une source de calcium très absorbable, leur teneur en phosphore est aussi très élevée. Un apport en phosphore trop élevé peut faire en sorte que le calcium soit soutiré des os, ce qui résulte en une perte nette en calcium.
Parmi les sources alimentaires nutritives, on retrouve les viandes, le poisson, la volaille, les œufs et les produits laitiers.
Le sodium, le potassium et le chlore – Maintenir l’équilibre hydroélectrolytique
On parle toujours de ces trois minéraux ensemble, car ils agissent ensemble en tant que système appelé électrolytes.
Les électrolytes sont des particules chargées appelées ions qui conduisent l’électricité lorsque dissoutes dans l’eau. Les électrolytes allument les étincelles qui font que nos muscles se contractent et que nos fibres nerveuses envoient des messages.
Les électrolytes travaillent toujours en équipes de deux : une paire d’ions portant une charge électrique négative est jumelée à une paire portant une charge électrique positive. Le sodium et le potassium sont des ions à charge positive qui attirent le chlore, dont la charge est négative. Ensemble, ils contrôlent le va-et-vient de l’eau dans les cellules. Ces minéraux travaillent aussi à maintenir l’équilibre hydroélectrolytique entre les cellules et le sang, l’équilibre acide-base dans le sang, le bon fonctionnement du cœur, des reins et de la glande surrénale.
L’organisme fonctionne mieux quand il contient plus de potassium que de sodium. La plupart des fruits et légumes à l’état naturel contiennent au moins 50 fois plus de potassium que de sodium. Malheureusement, la plupart des gens consomment deux fois plus de sodium que de potassium. Le sodium se faufile pendant la cuisson et par le biais des aliments préparés, de la nourriture de restaurant, des condiments et de la fameuse manie de saler les aliments une fois à table.
Le fer – formation des globules rouges
Cet oligo-élément reste littéralement au beau milieu de la molécule d’hémoglobine des globules rouges, transportant l’oxygène à toutes les cellules de l’organisme. Il reçoit aussi le dioxyde de carbone (déchet rejeté par les tissus), le retournant aux poumons qui l’expirent. Le fer agit aussi de concert avec plusieurs enzymes impliquées dans la production d’énergie et la synthèse de l’ADN.
Il existe deux formes de fer. On les retrouve dans de nombreux aliments.
Le fer relié à l’hème, que l’on retrouve principalement dans les viandes rouges et le foie, est celui qui s’absorbe le mieux.
On retrouve le fer non relié à l’hème dans les grains entiers, les sardines, les fruits séchés, les feuillus vert foncé, les œufs, le jus de pruneaux, les huîtres et de nombreux autres aliments.
Malheureusement, l’organisme a du mal à absorber le fer relié à l’hème et encore plus de difficulté à absorber le fer non relié à l’hème. De grandes quantités de calcium, de fibre et d’antiacides prises avec des aliments riches en fer entravent davantage l’absorption. La vitamine C augmente l’absorption du fer, alors prenez un verre de jus d’orange quand vous mangez des raisins secs.
Le manque de fer est la carence en nutriments la plus courante en Amérique du Nord, encore plus fréquente chez les femmes que chez les hommes. Cette carence résulte en la détérioration de la livraison d’oxygène aux tissus qui peuvent se traduire par de l’anémie, des difficultés d’apprentissage, une baisse des niveaux d’énergie et un flux menstruel excessif.
Le cuivre – produit de l’énergie, des nerfs et jointures en santé
On retrouve du cuivre dans tous les tissus de l’organisme, quoique sa concentration soit plus élevée dans le foie et le cerveau.
Cet oligo-élément :
favorise la production de collagène pour des os et tissus conjonctifs sains;
agit comme coenzyme dans la production d’énergie et d’hémoglobine;
forme du superoxyde dismutase à cuivre, une puissante enzyme antioxydante;
aide à former la gaine de myéline, une enveloppe protectrice qui entoure les fibres nerveuses;
favorise l’absorption du fer.
Une carence en cuivre se traduit par une détérioration des tissus conjonctifs et des os, des perturbations cérébrales, des niveaux élevés de LDL («mauvais cholestérol»), une diminution du taux de HDL («bon cholestérol») et une réduction de la réponse immunitaire.
Parmi les sources alimentaires de cuivre, on retrouve les pains et céréales de grains entiers, les mollusques et crustacés, les noix, les œufs, la volaille, les haricots et pois secs et les légumes feuillus vert foncé. Boire de l’eau provenant de tuyaux en cuivre fournit aussi une certaine quantité de cuivre.
Le zinc – pour la prostate, la guérison des plaies et le rôle immunitaire
Le zinc est l’une des composantes de plus de 200 enzymes et joue une multitude de fonctions. Il est nécessaire à la synthèse des protéines, la guérison des plaies, la fonction immunitaire, l’action de l’insuline, le rôle de la prostate, et le bon fonctionnement du goût, de la vue et de l’odorat. Le zinc joue aussi un rôle primordial dans la production de spermatozoïdes sains.
Les huîtres constituent la meilleure source alimentaire de zinc; les autres mollusques et crustacés, poissons et viandes rouges en contiennent aussi. Parmi les sources végétales, on retrouve les grains entiers, les légumineuses, les noix et les graines, quoique le zinc provenant d’aliments d’origine végétale ne s’absorbe pas bien.
Le jus de
carotte: un remède anti-cancer :
Boire
du jus de carotte est l’une des meilleures
façons pour prévenir ou lutter contre le cancer.
Selon
« le miracle antioxydant » , le jus de carotte fournit de puissants antioxydants qui favorisent la santé et le système immunitaire.
Manger
des carottes crues ou cuites représente un excellent apport pour l’organisme en
vitamines, minéraux et même en fibres, de plus il serait un peu difficile de
consommer au fil des jours suffisamment de carottes pour répondre aux besoins
de votre corps dans la prévention du cancer.
A partir d’une seule carotte, on peut préparer un verre de jus
de carotte.
Nutriments :
Les
carottes contiennent le caroténoïde alpha carotène, la bêta carotène et des
antioxydants puissants.
Des
études récentes publiées dans le « miracle antioxydant » indiquent
que l’alpha carotène est un puissant élément de prévention et de lutte
contre le cancer plus que le bêta carotène.
Les carottes contiennent l’un des rares
caroténoïdes ayant l’ activité du pro-vit A, ce qui signifie que le corps
transforme le bêta carotène en vit A en cas de besoin.
En outre, les carottes contiennent le pectate
de calcium ; une source de fibres solubles, de vitamines B-complex, C,D,E
et K, le fer, le calcium, le phosphore et le manganèse.
Voir
aussi
http://medecine.savoir.fr/plantes-anti-cancer/
**la betterave rouge:
**la betterave rouge:
Depuis les années 1950, suite aux travaux d’un médecin hongrois, le Dr Alexander Ferenczi, on a utilisé le jus de betterave pour traiter le cancer. Le médecin hongrois traitait ses patients atteints de cancer, exclusivement au jus de betterave et obtenait d’excellents résultats.
Il avait également constaté que si le traitement était interrompu prématurément, le cancer réapparaissait.
Sa recommandation était de consommer quotidiennement 1 litre de jus de betterave durant plusieurs mois.
** Armoise commune (artemisia
vulgaris) également appelés nagdona;
l’herbe contient L’artémisinine,qui tue 98% des
cellules cancéreuses en seulement 16 heures
Chicorée sauvage (cichorium
intybus) ou Kasni;
Violette odorante (Viola odorata) :
Les feuilles sont utilisées pour le sein et le cancer du poumon.
Chardon béni (Cnicus
benedictus)
activité antibactérienne et antitumorale.
Cette épice est un antimicrobien, anti-oxydant,
anti-inflammatoire, analgésique, antipyrétique, anti-cancéreux, et
anti-tumorigène.
L’épice contient une multitude d’agents
bioactifs qui peuvent être bénéfiques pour la santé, y compris les flavonoïdes,
les acides phénoliques, les catéchines, et plusieurs phénylpropanoïdes.
Selon une recherche faite par Bal Lokeshwar
le piment de la Jamaïque ralentit de manière
significative la croissance de tumeurs cancéreuses de la prostate en supprimant
le récepteur des androgènes (AR).
Une
molécule centrale de la croissance et la métastase du cancer de la prostate, AR
permet aux cellules cancéreuses de la prostate de survivre, même après un
traitement hormonal, la chirurgie et la radiothérapie sont les traitements
standards pour le cancer de la prostate.
-Le basilic contre le cancer : Le constituant actif dans la feuille
de basilic, l’eugénol est responsable de son action anticancéreuse.
Il
s’avère que l’eugénol inhibe la multiplication, la migration et l’invasion des
cellules cancéreuses et peut aussi induire l’apoptose (mort programmée des
cellules de tumeurs).
En outre, le basilic a une foule de composés
phytochimiques qui combattent le cancer comme, l’apigénine, lutéoline, l’acide
rosmarinique, myretenal, le bêta-sitostérol et l’acide carnosique.
-Le carvi une épice contre le cancer
Kapoor et al. (2010) ont démontré que l’huile
essentielle de carvi l’oléorésine est efficace comme anti-oxydant, plus que le
butylhydroxyanisole et le butylhydroxytoluène (commercial).
Schwaireb (1993) a examiné l’huile alimentaire
de carvi pour ses effets sur les tumeurs de la peau et l’huile de croton chez
la souris femelle.
Le nombre de cancers chez les animaux pourvus
d’huile de carvi étaient significativement moins que chez les témoins.
-Cardamomeالهيل
La cardamome a des propriétés
antioxydantes.
Kikuzaki, Kawai, et Nakatani (2001) ont
examiné des extraits de cardamome noire ( Amomum de subulatum ) pour leur
capacité à piéger les radicaux libres.
Une étude publié dans « The Asian Pacific
Journal of Cancer Prevention » en 2013, a constaté que la cardamome
contient des composés anti-cancer avec le potentiel de tuer les cellules
cancéreuses ainsi que la croissance de nouvelles cellules de cancer.
Une étude complémentaire, publié en Septembre
2012 dans le « British Journal of Nutrition, » a constaté que la
cardamome réglemente l’activité des gènes dans les cellules cancéreuses de la
peau et réduit l’activité de gènes liés à la croissance du cancer.
Le poivre de Cayenne une épice contre le cancerفلفل برّ عبيد
Des essais ont démontré une réduction du cancer
du pancréas, du poumon et le cancer de la prostate dans le cadre de la
consommation de la capsaïcine, l’élément clé dans le poivre de Cayenne.
La capsaïcine littéralement détruit les
cellules cancéreuses. La capsaïcine dans le piment de Cayenne fonctionne
également pour empêcher la croissance de la tumeur et réduit le gonflement dans
les tumeurs.
La
capsaïcine pousse les cellules tumorales à se suicider.
Non seulement cette épice a été documenté pour
lutter contre le cancer du pancréas.
Les nombreuses propriétés curatives du poivre
de Cayenne favorisent également la fonction saine du pancréas et aide à
rétablir la santé après un cancer.
Le
poivre de Cayenne répare aussi les cellules qui tapissent les poumons et
favorise la respiration
Saviez-vous que le poivre de Cayenne peut prévenir les attaques et les arrêts cardiaques en une minute? Avant tout assurez-vous toujours que cet ingrédient est disponible dans votre armoire de cuisine, parce que vous ne savez jamais quand vous pourriez avoir besoin de cet ingrédient précieux.
Un herboriste américain, le Dr Christopher, n'a jamais perdu un patient pour une crise cardiaque dans sa carrière de 35 ans. Ce qu'il fait, c’est qu'il donne un verre de thé de poivre de Cayenne (une cuillère à café dans un verre d'eau) pour les patients qui sont encore conscients. Ces théorie est scientifiquement prouvé par expérience personnelle et non pas sur des études réalisées dans des conditions contrôlées. Donc, il est encore plus digne de confiance.
comment arrêter une crise cardiaque
La raison pour laquelle le poivre de Cayenne aide à arrêter une crise cardiaque c’est parce qu'il a au moins 90 000 unités Scoville, selon les unités thermiques de Scoville(SHU) . Une combinaison d'une cuillère à café de poivre de Cayenne et un verre d'eau peut être administré aux patients qui ont eu une crise cardiaque, mais sont encore conscients afin d’éviter une fausse route et donc une gêne respiratoire.
Si la personne est inconsciente, mettre quelques gouttes d'extrait de poivre de Cayenne sous la langue du patient.
Cela permettra d'accroître la fréquence cardiaque et transporte le sang à toutes les parties du corps, équilibrant ainsi la circulation. Elle a un effet hémostatique, arrête les saignements, et aide à la récupération cardiaque.
Le remède ci-dessous est considéré comme le meilleur remède pour les cas d'urgence de crises cardiaques.
-Cannelle :
Les
composants principaux de la cannelle comprennent cinnamaldéhyde , l’eugénol,
terpinène, le carvacrol, linalol, safrole, le benzoate de benzyle, et la
coumarine.
Un agent de conservation alimentaire naturel,
la cannelle est une source de fer et de calcium.
Utiles dans la réduction de la croissance
tumorale, elle bloque la formation de nouveaux vaisseaux dans le corps humain.
La capacité des extraits de cette épice pour
supprimer la croissance in vitro de H. pylori , un facteur de risque du cancer
de l’estomac, le lymphome du tissu lymphoïde associé aux muqueuses gastrique et
le cancer du pancréas, a suscité un intérêt considérable dans l’utilisation
potentielle de cette épice contre le cancer.
Donner à des rats une poudre d’écorce de
cannelle a augmenté de manière significative plusieurs enzymes antioxydants
dans le tissu hépatique et cardiaque, par rapport aux témoins.
Ces enzymes aident à maintenir l’intégrité
cellulaire et la protection contre les dommages oxydatifs des radicaux libres
-Clou de girofle
Le clou
de girofle contient plusieurs composées bénéfiques qui ont eu une attention
croissante, dont beaucoup d’entre eux ont des propriétés anti-cancérigènes.
L’arbre de clou de girofle (Syzygium aromaticum L.), les clous de girofle sont
couramment utilisés comme épice.
Une étude a été conçue pour étudier l’action de chimio-prévention d’une infusion aqueuse du clous de girofle sur le cancer de la peau induit chez des souris suisses. Ils ont constaté qu’il y avait un effet protecteur acquis de la gousse.
Il a retardé la formation de papillomavirus
(cancer de la peau), mais il a également réduit l’incidence de papillomavirus,
ainsi que le nombre cumulé de papillomes par souris.
Les chercheurs croient qu’il pourrait y avoir
un rôle prometteur pour les clous de girofle pour limiter le processus de
cancérogenèse.
Des études de laboratoire très limitées menées dans plusieurs pays suggèrent que l’huile de cette épice peut lutter contre les bactéries, les champignons, et même les acariens de la peau (gale). Une étude a comparé les huiles de plusieurs plantes pour savoir comment ils ont arrêté la croissance de certains germes dans le laboratoire. L’essence de girofle est très efficace pour arrêter la croissance des bactéries, des levures et des moisissures qui ont été testés.
Une étude
japonaise chez la souris a suggéré qu’une préparation de girofle prise par la
bouche peut aider à réduire la gravité des infections à levures dans la bouche.
Plus
récemment, une étude de laboratoire a montré que l’exposition directe à l’huile
de clou de girofle a tué les acariens de la peau.
8-La coriandre
Les
propriétés anti-inflammatoires naturelles de la coriandre aident à réduire la
gravité des douleurs articulaires, à protéger le système nerveux des dommages
causés par les maladies neurodégénératives, les feuilles de coriandre ont plus
d’antioxydants que la coriandre dans ses autres formes.
Les
antioxydants sont particulièrement bons pour garder le cancer à distance et
aider les patients atteints de cancer de récupérer.
Une étude a montré que la coriandre peut être
en mesure de prévenir le cancer. Jusqu’à présent, seule l’expérimentation
animale a été faite et la propriété de protection de la coriandre concerne le
cancer du côlon.
D’autres
tests humains doivent encore être faits pour confirmer si elle permet d’éviter
le cancer du côlon chez l’homme aussi, mais il est raisonnable de supposer qu’un
aliment riche en antioxydants comme la coriandre sera bénéfique d’une certaine
façon dans la lutte contre le cancer.
9-Cumin ( Cuminum cyminum )
Thymoquinone
(TQ) est l’élément le plus abondant dans l’huile de graines de cumin. Le TQ
contenu dans cette épice est un antioxydant, antimicrobien et
anti-inflammatoire.
La thymoquinone contrôle la prolifération de cellules responsables de cancer de la prostate. Des preuves considérables soulignent également la capacité de QT pour supprimer la prolifération des cellules tumorales, y compris un carcinome colorectal, d’adénocarcinome du sein, un ostéosarcome, un carcinome de l’ovaire, une leucémie myéloblastique, et carcinome du pancréas.
10-Fenouil
Une étude
montre que l’anéthole, un composé du fenouil peut inhiber les cellules du cancer du
sein. Il empêche également ces
cellules de survivre. En fait, l’anéthole peut entraîner la mort des cellules
du cancer du sein dans certains cas. Cela signifie que, au moins, il peut
ralentir la croissance et la propagation du cancer du sein.
Une autre
étude a montré que ce composé arrête efficacement l’inflammation et même le développement du cancer.
Il le
fait en luttant contre des cytokines connues en tant que facteurs de nécrose
tumorale (TNF). Le TNF est considéré comme une cause de l’inflammation
chronique.
L’anéthol
se trouve aussi dans l’anis vert. Peu importe où vous allez obtenir votre
anéthol, l’ajouter à votre régime alimentaire est une très bonne idée.
11-L’Ail contre le cancer
Une
grande étude chinoise publiée récemment dans « Cancer Prevention Medicine ».
Les chercheurs ont comparé 1424 patients atteints de cancer du poumon avec 4543
adultes en bonne santé et leur ont demandé leur mode de vie et les choix
alimentaires.
Certes,
tout simplement ils ont demandé aux gens de se rappeler leur propre
comportement est à peine la forme idéale de la recherche. (Bien plus
instructif, il y a des études qui divisent les gens au hasard en deux groupes,
un groupe on lui donne un traitement et l’autre groupe un placebo sans révéler
qui à pris quoi, et puis comparer les résultats).
Cela dit, les résultats de Jiangsu Center for Disease Control and Prevention à Nanjing sont remarquables, a déclaré John Milner, qui a étudié la chimie de l’ail pendant des décennies.
« C’est une preuve supplémentaire que l’ail a des avantages importants pour la santé. » A déclaré Milner, directeur du Centre de nutrition humaine à l’Agricultural Research Service du ministère de l’Agriculture des États-Unis
L’allicine a de nombreuses fonctions – réduction de l’inflammation, la lutte contre les molécules d’oxygène nuisibles appelées radicaux libres, agissant comme un diluant du sang naturel, la lutte contre les bactéries, les agents de blocage du cancer (carcinogènes), l’amélioration de la réparation d’ADN et le déclenchement d’un phénomène appelé apoptose (mort cellulaire)..
Fait intéressant, il y a moins de bienfaits pour l’ail cuit. Toutefois, « si vous hachez l’ail et vous le laissez reposer pendant 10 à 15 minutes, les composés actifs sont formés, alors il n’a pas d’importance si vous le chauffez», a déclaré Milner.
« Le
chauffage est seulement mauvais si vous chauffez l’ail [haché] tout de
suite. »
En 2009, les chercheurs qui étudiaient des échantillons d’urine humaine ont trouvé que la consommation de 3 à 5 grammes par jour d’ail a bloqué la création d’agents cancérigènes, les substances cancérigènes, appelées nitrosamines, qui se trouvent dans certaines viandes transformées et sont également formés dans le corps au cours du métabolisme normal.
12-Origan
L’origan
possède une activité antioxydante, en raison d’une teneur élevée en acides
phénoliques et en flavonoïdes. Dans les études de laboratoire, il a également
montré une activité antimicrobienne contre les souches des agents pathogènes
d’origine alimentaire.
L’origan confirme sa valeur comme un agent potentiel contre le cancer de la prostate. Constitué de composés anti-microbiens, la ‘quercétine’ dans l’origan limite la croissance de cellules malignes dans le corps et agit comme un médicament contre les maladies cancéreuses.
-Le Thym
Une étude
faite par une équipe de scientifiques, de l’Universidade Nova de Lisboa au
Portugal a conclu dans la revue Natural Product Communications que des extraits
de Marjolaine sylvestre (Thymus mastichina L.) peuvent protéger contre le
cancer du côlon.
Des oncologues chercheurs de l’Université Celal Bayar en Turquie ont mené une étude pour déterminer l’effet du Serpolet (Thymus serpyllume) sur le cancer du sein.
Ils recherchaient spécifiquement les effets du thym sauvage sur l’apoptose (mort cellulaire) et des événements épigénétiques dans les cellules cancéreuses du sein.
Épigénétique
est l’étude des changements de l’expression des gènes provoquées par des
mécanismes qui n’impliquent pas de changements dans la séquence d’ADN.
Ils ont rapporté dans la revue Nutrition and Cancer que le Serpolet induit la mort cellulaire dans les cellules cancéreuses du sein.
Ils ont rapporté dans la revue Nutrition and Cancer que le Serpolet induit la mort cellulaire dans les cellules cancéreuses du sein.
Les auteurs de l’étude ont conclu que le thym sauvage « peut être un candidat prometteur dans le développement de nouveaux médicaments thérapeutiques pour le traitement du cancer du sein. »
15-Le romarin contre le cancer
Des
preuves considérables suggèrent que les extraits de romarin, ou de ses
composants isolés, peuvent retarder les cancers induits chimiquement.
Par exemple, l’application topique d’un
extrait de romarin a pu bloquer les phases d’initiation et de promotion de la
tumorigenèse de la peau.
Les extraits de romarin et les composés actifs de l’acide carnosique et l’acide rosmarinique se sont avérés inhiber la prolifération de diverses lignées de cellules cancéreuses humaines, y compris, un carcinome à petites cellules du poumon, le carcinome de la prostate, le carcinome du foie, la leucémie myéloïde chronique, l’adénocarcinome du sein, un adénocarcinome de la prostate.
16-Gingembre et cancer
Divers
modèles animaux ont été utilisés pour examiner le rôle du gingembre dans la
prévention du cancer.
Par
exemple, l’exposition de rats mâles à des tumeurs, puis ils ont été nourris
avec un régime à base de suppléments avec 1% d’extrait de gingembre pendant 26
semaines, les rats avaient significativement moins de lésions urothéliales par
rapport aux témoins ou ceux nourris avec un régime avec 0,5% de gingembre.
Le
gingembre semble également avoir des propriétés anti-tumorigène. Plusieurs
lignées cellulaires ont été examinées pour leur sensibilité au gingembre.
Par exemple, des extraits alcooliques de
gingembre ont inhibé la croissance de cellules tumorales.
17-Le curcuma une épice contre le cancer
Le curcuma lutte
contre le cancer
Le curcuma
stimule le système immunitaire
antioxydant et
Anti-inflammatoire
Le curcuma et la
protection du foie
Le curcuma et le
diabète
Le curcuma et la
perte de poids
…..
18- graine de nigelle (Nigella sativa), épice contre le cancer
Des études cellulaires ont démontré que l’extrait de
graine de nigelle se compare favorablement à la chemoagent 5-fluorouracile dans
la suppression de la croissance du cancer du côlon, mais avec un profil de
sécurité bien plus élevé.
La recherche sur les animaux a montré que l’huile de
cette épice noire a des effets inhibiteurs significatifs contre le cancer du
côlon chez le rat, sans effets secondaires observables.
Des chercheurs de Kimmel Cancer Center ont démontré que Nigella sativa pourrait provoquer la mort cellulaire lorsqu’ ‘il est utilisé contre les cellules tumorales pancréatiques.
Les résultats ont montré un taux de réussite de 80
pour cent. Cette étude sur les cellules tumorales pancréatiques n’était que le
début de nombreuses études futures sur l’effet de Nigella sativa contre le
cancer.
Selon Hwyda Arafat, MD, Ph.D., professeur agrégé de chirurgie au Collège de l’Université Thomas Jefferson, « Nigella sativa permet de traiter un large éventail de maladies, y compris des troubles immunitaires et inflammatoires.
Selon Hwyda Arafat, MD, Ph.D., professeur agrégé de chirurgie au Collège de l’Université Thomas Jefferson, « Nigella sativa permet de traiter un large éventail de maladies, y compris des troubles immunitaires et inflammatoires.
Des études antérieures ont également montré une
activité anti-cancéreuse de la prostate et du côlon, ainsi que des effets
antioxydants et anti-inflammatoires « .
Les études ont démontré des résultats positifs contre le cancer de la prostate et du côlon.
Les études ont démontré des résultats positifs contre le cancer de la prostate et du côlon.
Le cancer du sein a également été étudié dans une
recherche séparée montrant la capacité d’éradiquer les cellules cancéreuses et
de fournir une excellente santé pour de nombreuses femmes.
Il y a plus de 1400 ans le prophète Mohammed a dit « La graine de nigelle, est un remède pour toute maladie, sauf la mort.»
Anis (Pimpinella anisum)
Grâce à
son action oestrogénique cette plante, Peut être utile contre le cancer de la
prostate.
Aigremoine (Agrimonia eupatoria)عود
الذهب * غافث
Efficace
contre toutes les formes de cancer sauf la leucémie. Elle est utile en cas de
désintoxication, goutte et certains types d’arthrite.
Chélidoine (Chelidonium majus)
Utilisé
lorsque la cause du cancer est virale, ou en cas d’une hypertrophie du foie.
Nécessite une supervision d’un professionnel.
Pocède
une activité anti-tumorale, à ne pas utiliser avec des anticoagulants.
Utile
pour restaurer la fonction de la moelle osseuse après une chimiothérapie ainsi
que d’un effet positif sur la leucémie.
Le saule a les propriétés de l’aspirine, mais
il ne provoque pas d’ulcère d’estomac.
Romarin
Contient deux composés étonnants, l’acide carnosique et le
carnosol.
Ces substances ne sont pas seulement des remèdes naturelles puissants contre le cancer, mais ils protègent également contre les effets de l’exposition aux rayonnements.
Ces substances ne sont pas seulement des remèdes naturelles puissants contre le cancer, mais ils protègent également contre les effets de l’exposition aux rayonnements.
Le romarin est très bénéfique pour la santé du cerveau.
Achillée millefeuille (Achillea millefolium)
Les racines ont été utilisés pour construire la masse musculaire
et pour traiter le cancer par les Amérindiens. Elle est utile pour la
cicatrisation et la radiothérapie.
Bardane
(Arctium lappa)
Désintoxicante et anti-tumorale.
Gotu Kola (Centella Asiatica)
Plante de la mémoire et de la longévité.
Gingembre (Zingiber officinale)
Des études chez l’animal ont démontré que le Gingembre est
capable de réduire les tumeurs du foie.
Echinacea (angustifolia Purpurea)
Stimule l’immunité, a une action antibactérienne et
antitumorale.
Le
chardon-marie (Silybum marianum)
Réputé pour son utilisation contre la cirrhose et l’hépatite,
des études récentes ont démontré qu’elle a une action positive sur les enzymes
du cancer du sein.
Hydraste du canada(Hydrastis canadensis)
Stimulant immunitaire tout en ayant une action antibiotique, la
berbérine contenue dans la plante pourrait avoir un effet de rétrécissement sur
les tumeurs.
Le curcuma
Certains experts de la santé soulignent les bienfaits
anti-inflammatoires du curcuma et ils ont tiré des conclusions fondées sur le
lien entre l’inflammation et le développement du cancer.
Ananas :
La bromélaïne tue les cellules cancéreuses sans toucher
les cellules saines
Une enzyme appelée bromélaïne, se trouve dans l’ananas, qui
est l’un des aliments naturels que vous pouvez utiliser pour prévenir et lutter
contre le cancer.
Contrairement à la radiothérapie qui cause souvent plus de
dommages aux cellules saines, la bromélaïne tue uniquement les cellules
cancéreuses
l’huile d’olive :
Une équipe de chercheurs a découvert qu’un composé simple
dans l’huile d’olive est capable de tuer les cellules cancéreuses dans les 30
minutes à une heure et il ne nuit pas aux cellules saines
oléocanthal,
a déjà été identifié comme un agent anti-cancer, mais
mesurer sa capacité à combattre les cellules cancérigènes était pratiquement
impossible.
Plusieurs études
existent sur le composé d’autres bienfaits aussi, qui comprennent
ses effets potentiels sur:
L’inflammation
La suppression des tumeurs
L’ostéoporose
Les maladie liée à l’âge
L’Alzheimer
Et beaucoup d’autres, mais cette nouvelle
étude, qui a trouvé que ce composé peut
vraiment tuer les cellules cancéreuses en
moins d’une heure, peut-être la plus
importante.
La suppression des tumeurs
L’ostéoporose
Les maladie liée à l’âge
L’Alzheimer
Et beaucoup d’autres, mais cette nouvelle
étude, qui a trouvé que ce composé peut
vraiment tuer les cellules cancéreuses en
moins d’une heure, peut-être la plus
importante.
Plus
précisément, l’étude a révélé que les cellules cancéreuses exposées à
l’oléocanthal mouraient dans une période de 30-60 minutes – tout cela grâce à
la manière dont le composé de l’huile d’olive utilise les enzymes des cellules
cancéreuses. Il perfore l’intérieur des cellules cancéreuses où les toxines
sont bloqués, le composé fait des ravages dans les cellules infectées.
Le
professeur Paul Breslin, le co-auteur de l’étude, explique que le
processus provoque un enfer à l’intérieur des cellules cancérigènes.
Ail
Il est
bien connu que l’ail a certaines propriétés antibiotiques qui peuvent
être utilisés pour se débarrasser de divers agents infectieux comme les
bactéries, les levures et les champignons.
La présence
de composés soufrés alkyle, en fait un très bon agent anti-cancer.
Cela en
amenant les cellules malignes à subir une mort cellulaire naturelle, également
connue sous le nom d’apoptose.
Il joue également un rôle important dans
l’activation des cellules du système immunitaire contre les cellules
cancéreuses.
Il est toujours préférable de manger de l’ail
cru plutôt que de le consommer sous une forme cuite.
Brocoli
Le brocoli contient un gène appelé linamarase,
lorsqu’il pénètre dans les cellules cancéreuses, il se décompose en cyanure et
peut ainsi tuer les cellules tumorales.
Raisin
Le raisin contient un composé appelé proanthocyanidine qui
réduit la production d’œstrogène dans l’organisme.
Il en
résulte un traitement efficace du cancer du sein, comme le montrent les essais
cliniques effectués sur plusieurs patients atteints de cancer du sein.
L’étude a
démontré que l’extrait de raisin affecte les tumeurs cancéreuses du sein.
L’extrait des pépins de raisin aide à inhiber l’aromatase, Ce qui aide à prévenir la formation du cancer.
L’extrait
de pépins de raisin aide à prévenir la croissance et la propagation des
cellules cancéreuses.
L’herbe de blé
Une herbe
bénéfique pour la santé, connue pour ses avantages contre le cancer.
lorsqu’elle est prise sous forme de jus ou
crus elle a un effet contre la croissance des cellules cancéreuses comme il a
été démontré par le Centre du cancer « Memorial
Sloan-Kettering » l’herbe aide à renforcer le système immunitaire et à
élimine les toxines de l’organisme.
Les 18 bienfaits du jus
d’herbe de blé
Cet article est un
article publié par le Centre Hippocrate de Floride, que nous avons
traduit.
L’herbe de blé est
une plante aux propriétés particulières, et le jus d’herbe de blé a toujours
constituée l’un des piliers du programme de
bien-être du centre Hippocrate depuis plus de 60
ans.
Pour un œil non
exercé, elle peut paraître semblable à n’importe quelle herbe. L’herbe de blé
est cultivée à partir du grain de blé, dont la qualité supérieure et la variété
de ses éléments nutritifs la distingue des autres herbes. Voici quelques effets
que cet aliment peut apporter.
D’après nos
recherches et nos observations, l’herbe de blé :
·
est l’une des sources les plus riches
de vitamines A et C
·
contient de nombreux éléments
permettant d’assimiler plus facilement les vitamines B, y compris le laetrile
(B17), qui peut détruire certaines cellules cancéreuses sans affecter les
cellules normales
·
contient du calcium de haute qualité,
du phosphore, du magnésium, du sodium et du potassium en quantité équilibrée
·
apporte du fer bio-disponible,
améliorant ainsi la circulation
·
contient 92 des 102 des oligo-élements
qu’on peut trouver dans les plantes
·
est la forme la plus efficace de
traitement par la chlorophylle
·
aide à réduire la tension artérielle
·
est similaire à la structure chimique
moléculaire des globules rouges, améliorant ainsi la capacité du sang à
transporter l’oxygène à toutes les cellules du corps
·
aide à éliminer les résidus de
médicament dans l’organisme
·
purifie le foie
·
aide les plaies à cicatriser plus vite
·
neutralise les toxines métaboliques
dans le corps
·
aide à réguler les problèmes de taux
de sucre dans le sang
·
peut mettre un terme à la perte de
cheveux et aux cheveux grisonnants
·
aide à soulager la constipation
·
augmente la résistance aux radiations
et élimine les symptômes d”empoisonnement par rayonnement
·
agit comme désinfectant en détruisant
les bactéries dans le sang, la lymphe et les tissus
·
est considéré comme un aliment
complet, car elle contient tous les acides aminés nécessaires à l’organisme
humain
Parce que l’herbe de
blé agit comme un nettoyant puissant à l’intérieur du corps humain, vous pouvez
vous sentir nauséeux peu de temps après l’avoir ingérer. Cette réaction est
provoquée par la libération de toxines dans votre corps. Il est préférable de
commencer avec de petites quantités, environ 30 ml, puis augmenter
progressivement jusqu’à 4 fois la dose initiale. La même chose est vraie pour
l’utilisation de jus d’herbe de blé comme un implant dans le côlon.
Connu
principalement par les sportifs, le jus d’herbe d’orge,
considéré comme super-aliment, est un produit plein de bienfaits, sain, qui
contribue à votre bien-être.
Propriétés de l’herbe d’orge en
poudre ou en jus
Les propriétés du jus d’herbe sont très étendues et
nombreuses.
Le
principal atout du jus
d’herbe d’orge est son effet détoxifiant. À
l’instar de la spiruline et de différentes algues, ce jus est très intéressant
pour nettoyer l’organisme et lui apporter minéraux et vitamines. C’est grâce à
la présence de la chlorophylle, entre autre, que l’herbe
d’orgedétient le pouvoir de « nettoyer » en douceur l’organisme.
Il
rétablit l’équilibre acido-basique de
l’organisme. En général, à cause d’une mauvaise alimentation et d’une
mauvaise hygiène de vie, le Ph du terrain à une forte tendance à devenir plus
acide. Le jus vert
d’herbe d’orge contribue
à restaurer un équilibre
plus alcalin à l’instar du bicarbonate de soude par exemple.
Il possède de nombreux anti-oxydants, qui
protègent des radicaux libres (responsables du vieillissement des cellules).
Parmi eux, la bêta-carotène le sélénium et la vitamine E.
Le jus de jeunes pousses
d’orge contribue
au bien-être dans les problèmes d’estomac, de pancréas, les inflammations de la
bouche et il facilite la digestion.
Il améliore l’endurance, stimule la
sexualité et la cicatrisation.
Il aide à chasser les odeurs corporelles et
à lutter contre la mauvaise haleine.
Certains de ses constituants préviendraient
en outre la formation des cellules cancéreuses.
Thé vert
Préparer
le thé vert à base de plantes en faisant bouillir une
certaine quantité de feuilles de thé dans un verre d’eau jusqu’à ce qu’elle se
réduit à la moitié.
Ceci a
des propriétés anti-inflammatoires et est très efficace contre la formation du
cancer du sein ainsi que d’autres cancers.
Les lignanes
Les
lignanes sont présents dans les graines de tournesol, noix de cajou, les
fraises, les graines de lin et les arachides.
Ces
composés empêchent les tumeurs œstrogène-dépendantes en ralentissant leur taux
de croissance et leur progression.
Un de ces
aliments peut être inclus dans votre alimentation quotidienne.
Vitamine D
L’apport
en vitamine D a été associé à un risque plus faible de cancer du sein. Vous
pouvez la trouvé dans les œufs et l’huile de foie de morue, sans oublier
l’exposition au soleil.
Calcium
Il est
important de consommer du calcium, en particulier dans la période de
pré-ménopause pour les femmes. Il est nécessaire pour réduire le risque du
cancer du sein selon plusieurs études différentes. Les aliments riches en
calcium sont le jus d’orange, les amandes et les légumes verts.
Autres
aliments utiles contre le cancer du sein
Haricots
Les
chercheurs ont constaté que les femmes qui mangent des légumineuses au moins
deux fois par semaine ont des taux inférieurs de développer un cancer du sein
Myrtilles ثمارشجر الريحان
Les
bleuets frais sont une excellente source d’antioxydants, y compris l’acide
chlorogénique qui lutte contre le cancer, ainsi que les pigments anthocyanes
qui leur donnent leur couleur.
L’action
antioxydant d’un aliment est mesuré en unités ORAC-qui signifie «capacité
d’absorption des radicaux oxygénés » et les bleuets ont un taux plus
élevé que n’importe quel fruit ou légume.
Champignons
Portobello,
cremini, boutons et champignons shiitake tous ont des propriétés anti-cancer.
Les Champignons
contiennent réellement plus d’antioxydants que les citrouilles, les carottes et
les tomates, explique Karen Graham, une nutritionniste intégrative en Arizona.
C’est parce qu’ils sont riches en
ergothionéine et en sélénium, deux antioxydants qui stimulent le système
immunitaire.
Les
champignons contiennent également des bêta-glucanes, trouvés surtout dans le
shiitake et le maitake, qui renforcent le système immunitaire et peuvent
prévenir le cancer.
En fait,
une étude publiée dans l’International Journal of Cancer a constaté que les
femmes qui mangeaient 10 grammes de champignons par jour étaient 64 pour cent
moins susceptibles de développer un cancer du sein que celles qui n’en
mangeaient pas.
Épinards
Riche en
bêta-carotène et la lutéine, deux puissants antioxydants. Des chercheurs de
l’Institut national des sciences de la santé environnementale ont constaté que
les femmes qui ont mangé des épinards plus de deux fois par semaine avaient un
taux plus faible de cancer du sein que celles qui ont rarement mangé le légume.
Tomates
Les tomates contiennent le lycopène qui est un antioxydant puissant qui peut aider à
prévenir le développement du cancer du sein, aider à arrêter la croissance des
cellules cancéreuses, le lycopène peut également arrêter d’autres cellules
cancéreuses de se développer dans d’autres organes comme les poumons ou
l’endomètre.
La grenade
La
recherche a démontrée que la grenade peut aider à détruire les cellules cancéreuses
sans affecter les cellules saines.
La
grenade contient des polyphénol qui est une forme d’acide ellagique et est
connu pour ses propriétés antioxydantes.
Elle permet d’éviter la formation de cellules
cancéreuses dans la région du sein.
Saumon
Des
chercheurs de l’Université de Californie du Sud et de l’Université nationale de
Singapour ont trouvé que les femmes ménopausées qui ont mangé une moyenne de 45
g à 85 g de poissons ou de crustacés chaque jour, étaient 26 pour cent
moins susceptibles de développer un cancer du sein au cours des cinq années de
l’étude que ceux qui mangeaient moins de fruits de mer.
Persil
Des
scientifiques de l’université de Missouri ont trouvé que cette plante peut
effectivement inhiber la croissance des cellules cancéreuses.
Les
animaux qui ont reçu l’apigénine, un composé abondant dans le persil (et le céleri), ont augmenté leur résistance au
développement des tumeurs cancéreuses.
Les
experts recommandent d’ajouter quelques pincées de persil frais haché à vos
plats tous les jours.
Prunes et pêches
Des
chercheurs de la Texas A & M ont récemment découvert que les prunes et les pêches ont des niveaux élevés d’antioxydants pour
rivaliser avec les « super » bleuets parce qu’ils contiennent
deux types de polyphénols (antioxydants) qui peuvent aider à tuer les cellules
cancéreuses du sein, tout en laissant les cellules saines intactes.
Chou frisé, les patates douces et la courge
Manger
des aliments riches en caroténoïdes a été liée à un risque réduit de récidive
du cancer du sein.
Les
caroténoïdes sont des pigments naturels présents dans les aliments jaunes et
oranges (comme les carottes, les patates douces et la courge) et les légumes à feuilles
vert foncé comme le chou frisé, les épinards et les blettes. Dans une étude
publiée en 2009 dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention,
l’augmentation de la consommation de caroténoïdes a été associée à «une plus
grande probabilité de survie sans cancer du sein.
Pour
augmenter la consommation de caroténoïdes, le Dr Mitchell Gaynor conseille à
ses patients atteints de cancer du sein de manger plus de légumes crucifères.
Gaynor,
fondateur de Gaynor oncologie intégrative, affirme que son raisonnement est
simple: «L’objectif est de garder les cellules cancéreuses en sommeil, et ce
que vous mangez peut faire la différence « Exemples de légumes crucifères:
le brocoli, le chou frisé, le chou et le chou-fleur.
Les graines
de citrouille :
Les graines de citrouille sont riches en
calories, environ 559 calories par 100 g.
Les graines de citrouille contiennent plusieurs principes actifs
Les acides gras essentiels, acides aminés, les phytostérols (par exemple bêta-sitostérol), des minéraux et des vitamines.
D’autres constituants principaux sont
des glucides et des minéraux mucilagineux. Une seule portion de graine de
citrouille est hautement nutritive et fournit des minéraux nécessaires tels que
le magnésium, le zinc, le potassium et le fer.
Les graines de citrouille renferment de
puissants antioxydants. Autrement dit, l’excellent profil nutritionnel des
graines de citrouille n’a pas seulement fait une partie intégrante de la santé
naturelle-
Lutte contre le cancer du sang le leucémie
Le souci للّوشcalendula :
Anti-inflammatoire
Anti-œdémateux
Anti-oxydant
Anti-viral
Anti-tumoral
Immunomodulateur
VIH
Dermatologie
ORL
الشندقورة Ivette :
L’ivette musquée : possède une saveur amère et résineuse et une odeur forte, qui se
rapproche du musc.
On emploie les tiges feuillées sèches, en
infusion théiforme, comme antispasmodique, tonique, fébrifuge, diurétique, antiarthritique et apéritive.
On
prépare une décoction de 20 g dans un litre d’eau pour traiter les maux de
tête, des reins et de la vessie. Prendre 3 tasses de tisane /j .
On
l’utilise avantageusement aussi contre les affections
fébriles, comme la grippe ; elle possède des propriétés antiseptiques.
L’infusion en lavement
tue les insectes. Elle est employée contre les affections auriculaires, les
feuilles fraîches sont pilées et le liquide obtenue sera chauffer et
administrer à raison de deux gouttes par jour.
On boit l’infusion une
fois par jour après le repas contre le diabète, l’hypertension
artérielle, les rhumatismes, les diarrhées, les douleurs
gastriques et les céphalées contre le stress et le cancer.
La plante en
macération dans l’eau ou dans le miel est employée contre la fièvre, les vers
intestinaux et pour régulariser le travail du cœur.
المنافع :
الشندقورة
نافعة لمقاومة السرطانات و لإيقاف الإسهال وتضميد الجروح وتستعمل كذلك في معالجة قرحة المعدة وذلك بأخذها مسحوقة لوحدها أو
مخلوطة بالعسل وتستعمل كذلك لعلاج مرض السكري وارتفاع ضغط الدم
Échinacée :
Cette plante
est excellente pour renforcer notre système immunitaire. On l’utilise pour prévenir et traiter le rhume.
Elle aide aussi à
combattre les tumeurs cérébrales, car elle permet de contrôler la croissance
cellulaire.
Cette plante
est également d’une grande aide chez les patients atteints de leucémie. Elle
permet de contrôler la croissance cellulaire.
Roquetteالجرجير :
Les feuilles de roquette ont un goût légèrement piquant et relèvent la saveur des salades, des soupes et des sauces.
Comme
plusieurs autres brassicacées (crucifères), la roquette contient divers
composés qui auraient des effets anticancer.
Sesgraines sont comestibles et
servent de condiment.
Le
cassis, un super anti-inflammatoire
Délicatement
acidulé, star des apéritifs, le cassis est une plante médicinale à part
entière. On s’en sert pour calmer la douleur et l’inflammation.
Noix :
Antioxydants. Les antioxydants sont des
composés qui réduisent les dommages causés par les radicaux libres dans le
corps.
Ces derniers sont des molécules très
réactives qui seraient impliquées dans l’apparition des maladies
cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au
vieillissement.
La noix arrive en deuxième
place parmi plusieurs autres végétaux (fruits, légumes, fruits à écale,
graines et céréales) quant à son contenu en antioxydants14.
§ Composés phénoliques. La noix contient de l’acide ellagique15, un
composé phénolique qui a démontré un potentiel antioxydant in vitro15 et
de prévention contre certains cancers chez l’animal16. Par contre, ces
effets ne se transposent pas forcément chez l’humain. En effet, des chercheurs
ont constaté que, selon la flore microbienne des individus, certaines personnes
excrétaient davantage que d’autres un sous-produit de l’ellagitannin (un
composé phénolique contenant de l’acide ellagique) dans l’urine, après une
consommation identique de noix17.
§ Ce qui signifie que chaque individu métabolise différemment l’ellagitannin
et donc que l’activité biologique de ce composé serait variable d’un individu à
l’autre.
§ Cette information est utile dans un contexte d’études cliniques puisque des
données sur l’absorption et le métabolisme des composés phénoliques permettront
de valider leur activité in vitro.
En plus de l’acide ellagique, la noix contient au moins neuf autres composés phénoliques (dont l’acide gallique)15.
En plus de l’acide ellagique, la noix contient au moins neuf autres composés phénoliques (dont l’acide gallique)15.
§ Lorsqu’ils sont extraits de la noix, ces composés sont des inhibiteurs
efficaces de l’oxydation du cholestérol-LDL in vitro15. Il
est à noter que les composés phénoliques de la noix se retrouvent en plus
grande concentration dans la mince pellicule brune entourant celle-ci15.
§ Mélatonine. La noix contient de la mélatonine, une molécule antioxydante
moins connue comparativement à plusieurs autres antioxydants18.
§ La mélatonine est rarement mesurée dans les aliments et la noix serait le
premier fruit à écale dont le taux a été mesuré. Après avoir consommé des noix,
des rats ont vu leur taux de mélatonine et leur capacité antioxydante augmenter
de façon significative dans leur sang, comparativement aux animaux ayant reçu
une alimentation sans noix18.
§ Les auteurs supposent
qu’un effet de synergie serait possible entre la mélatonine et
d’autres composés antioxydants (comme la vitamine E) présents dans la
noix, augmentant ainsi la capacité antioxydante totale.
§ De futures études sur le sujet permettront certainement d’éclaircir le rôle
de la mélatonine en tant qu’antioxydant.
Phytostérols. Les phytostérols sont des
composés présents dans les végétaux et dont la structure est apparentée à celle
du cholestérol.
Une
méta-analyse de 41 essais cliniques a démontré que la prise quotidienne de
2 g de phytostérols réduisait de 10 % le taux de cholestérol-LDL
(« mauvais » cholestérol) et que cette réduction pouvait atteindre
20 % dans le cadre d’une diète faible en gras saturés et en cholestérol19.
Les phytostérols se retrouvent dans
l’huile de la noix et les quelques variétés de noix en contiennent des
quantités différentes.
Par exemple, une portion de 30 g
de noix du noyer noir contiendrait environ 35 mg de
phytostérols, comparé à environ 23 mg pour une même portion de noix
du noyer commun (la plus couramment consommée)20.
Cette dernière est d’ailleurs un des fruits à
écale et oléagineux les moins riches en phytostérols20.
De plus, la quantité de phytostérols
contenue dans les huiles de noix varient d’un pays à l’autre, étant plus élevée
pour les noix provenant de Chine et plus faible pour les noix des États-Unis21.
Il est pratiquement impossible d’atteindre
cette quantité de 2 g par jour par les aliments seulement et pour le
moment, Santé Canada ne permet pas la commercialisation d’aliments enrichis en
phytostérols.
Toutefois, même si les effets des phytostérols
de la noix n’ont pas été évalués directement, il est possible de supposer que
les phytostérols présents naturellement dans les aliments demeurent
intéressants pour la santé cardiovasculaire.
Arginine. Les protéines végétales
diffèrent des protéines animales par leur composition en acides aminés : elles ont généralement un contenu plus élevé en arginine et
plus faible en lysine.
Dans une étude
réalisée chez l’animal, l’ajout de noix dans la diète a diminué l’agrégation
des plaquettes sanguines ainsi
que le cholestérol sanguin total22.
La diminution de
l’agrégation des plaquettes, un facteur préventif de troubles
cardiovasculaires, était reliée au faible rapport lysine/arginine de la noix,
laissant supposer que celui-ci serait déterminant dans l’effet observé.
La noix possède
un contenu particulièrement élevé en arginine23 et à partir de cet acide aminé, le
corps fabrique de l'oxyde nitrique, une substance favorisant la dilatation des
vaisseaux sanguins nécessaire à une bonne circulation sanguine.
Cet effet anti athérogénique relié au faible
rapport lysine/arginine a été démontré chez l’humain24, mais
pas spécifiquement après la consommation de noix.
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