Cancer : Laetrile (Amygdaline, Vitamine B17) découverte et fonctionalité
Dans tous les cas de figure, que ce fut pour le scorbut, le pellagre, le beri-beri, l’anémie pernicieuse ou quelque autre maladie de ce type que ce soit, la solution ultime a toujours été trouvée dans des facteurs impliquant la nutrition adéquate.
Il pensait que ceci était un indice suffisamment important pour orienter notre curiosité scientifique sur une meilleure compréhension des maladies actuelles, surtout en ce qui concerne le cancer
Le Laetrile (Amygdaline, Vitamine B17) découverte et fonctionalité
le Dr Dean Burke, l'ancien président du Département de Cytochimie de l'Institut National du Cancer et l'un des cofondateurs de cette célèbre institution médicale américaine, avait travaillé personnellement sur la vitamine B17. Il a décrit cette substance en ces termes : "Lorsque nous ajoutons du laetrile à une culture de cellules cancéreuses sous le microscope", a déclaré le Dr Burke, à condition qu'il y ait aussi l'enzyme glucosidase, nous voyons les cellules cancéreuses mourir comme des mouches" (la glucosidase est l'enzyme figurant en grande quantité dans les cellules cancéreuses, qui déclenche le mécanisme unique de destruction du cancer que l'on trouve dans la vitamine B17.
par Anarchix
Article paru sur le Gaulois Déchaîné en Mai 2010
Url de l’article original :
http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2010/03/17/laetrile-amygdaline-vitamine-b17-decouverte-et-fonctionalite/
Avis: Cet article représente une synthese d’information, élaborée par traduction de l’anglais par l’auteur et doit servir uniquement de base d’information. Ceci n’est en aucun cas un avis médical, l’auteur n’étant pas médecin, les vues exprimées ici doivent être prises comme information sur le sujet et non comme une expertise médicale.
Dans les années 1940, le Dr Ernst Krebs (Ph.D en biochimie) et son fils firent des recherches sur la théorie trophoblastique du cancer. Ils publierent un article dans le Medical Record de New York: “The Unitarian or Thophoblastic Thesis of Cancer”.
Au début des anneés 1950, ils émirent l’hypothese que le cancer serait causé par un manque dans l’alimentation de l’Homme moderne, qu’ils identifierent comme faisant partie de la famille des nitrilosides que l’on trouve dans plus de 1200 plantes comestibles.
Le Dr Krebs etudia une peuplade himalayeenne du nord du Pakistan les Hunzas, qui sont connus pour n’avoir aucune incidence de cancer dans leur population (American Medical Association, Dr Robert McCarrison, 1922). Dr Krebs nota que les abricots prenaient une part considerable dans le regime alimentaire des Hunzas. Il n’était néanmoins pas convaincu que la chair d’abricots contienne une ou plusieurs substances anti-cancereuse.
Il apprit que les Hunzas en fait faisaient une grosse consommation de graines d’abricots (que l’on trouve en craquant le noyau). Une analyse biochimique prouva que les graines d’abricot ont une extrême teneur en nitrilosides.
En fait les nitrilosides sont presents en abondance dans les graines d’abricots, de pommes, de poires, de pêches, le millet, les germes d’haricots, noix et noisettes, et les amendes ameres (Note: l’amendier qui produit cette amende est interdit sur le sol américain depuis 1995, pourquoi donc ?).
De la, le Dr Krebs isola les glycosides de plantes qui contenaient en abondance ces nitrilosides et synthetisa les molécules en une substance qu’il appela “Laetrile” pour Laevomandelonitrile-beta-glucoronoside.
Plusieurs années de tests cliniques dans le monde furent necessaires avant qu’un modele ne soit proposé pour la prevention et le traitement du cancer. La substance reçu alors le nom de “Vitamine B17”. Physiologiquement, une vitamine est un co-enzyme, qui doit être associea un enzyme pour une performance optimale.
Il a été scientifiquement prouvé que les enzymes pancréatiques entr’autres, dépendent de certains co-facteurs et co-enzymes pour fonctionner optimalement. Nous verrons que cela a une importance capitale un peu plus loin dans cet article.
Comment la vitamine B17 fonctionne t’elle et pourquoi est-elle si efficace contre les cellules cancereuses ? C’est ce que nous allons deecouvrir maintenant.
Lorsque les médecins ont etudié les Hunzas dans leur région himalayenne, il a été établi que ceux-ci consommaient entre 100 et 200 fois plus de vitamine B17 a travers leur alimentation traditionnelle que l’Américain moyen (la référence ici étant la valeur nutritionnelle américaine), simplement en consommant beaucoup de millet… et de graines d’abricots qui est la source naturelle la plus importante de vitamine B17 sur terre.
Le Dr McCarrison rapporta en 1922: “La peuplade Hunza n’a aucune incidence de cancer connue. Ils cultivent et consomment en abondance des abricots.”
Voici comment la Nature fonctionne dans ce cas précis:
Chaque molécule de vitamine B17 contient une molécule de cyanide d’hydrogene, une molécule de benzaldehyde et deux de glucoses (sucre) verrouillées ensemble. Chimiquement, pour libérer la molécule de cyanure, seul un enzyme appelé beta-glucosidase est a même de le faire.
Cet enzyme est présent en tres, tres petite quantité dans le corps, mais il se trouve que les cellules cancéreuses en produisent beaucoup (dû au fait que la cellule cancéreuse vit dans un milieu anaérobique et utilise les sucres comme source de production d’énergie).
Ainsi, le cyanide d’hydrogene est libéré en masse dans les cellules cancéreuses en combinaison avec la molécule de benzaldehyde, qui est aussi un poison violent, lorsque combiné avec le cyanide.
En fait la combinaison des deux substances chimiques a un effet 100 fois supérieur a celui des deux substances prises individuellement. De ce fait les cellules cancéreuses sont oblitérées a tres grande vitesse.
Un des arguments des opposants a la vitamine B17 (le plus souvent inféodés aux lobbies des labos pharmaceutiques bien sûr) consiste a dire que justement, cela implique la consommation de poisons dangereux pour l’organisme, comme si les poisons de la chimiothérapie n’en étaient pas… Qu’en est il ?…
Ingérer du cyanure et du benzaldehyde, même naturels, n’est pas vraiment de nature a encourager la pratique n’est il pas?
Une fois de plus la Nature a sa réponse quant a savoir pourquoi les substances ne sont pas nuisibles aux autres cellules du corps et n’affectent que les cellules cancéreuses. Voici comment cela fonctionne: Nos corps possedent un autre enzyme en quantité bien plus abondante que l’enzyme dévérouilleur beta-glucosidase.
Il s’agit de l’enzyme rhodanese, qui a lui la capacite de décomposer a la fois le cyanide et le benzaldéhyde en thiocyanate et salicylicate qui sont des substances absolument inoffensives, la seconde étant même un analgésique (anti- douleur) naturel.
Le plus extraordinaire, est que la cellule cancéreuse elle, ne possede absolument pas de rhodanese, ce qui la laisse completement vulnérable aux deux poisons. Ce processus est connu sous le vocable de toxicité sélective, laissant ainsi les cellules cancéreuses seules cibles des substances. N’est-ce pas absolument époustoufflant ?
Le Dr Krebs travailla sur la théorie de l’origine throphoblastique du cancer, émise en 1900 par l’embryologiste écossais le Dr John Beard qui analysa que les cellules cancéreuses sont quasiment identiques aux cellules placentaires trouvées lors des grossesses.
Les cellules throphoblastiques du placenta créent un environnement protecteur: le placenta et une source nutritionnelle: le cordon ombilical, de la même maniere que la cellule cancéreuse forme un environnement protecteur: la tumeur et une nouvelle source de nutrition: de nouveaux vaisseaux sanguins.
Les cellules throphoblastes sécretent une hormone jusqu’a la 8eme semaine de grossesse: la gonadotropine chorionique humaine (hCG en anglais). Apres la 8eme semaine de grossesse la sécrétion diminue en parallele avec le developpement du pancreas fétal.
Cette hormone est une hormone qui aide a la défense de la cellule en stade de formation. Des recherches médicales modernes ont prouvé que les cellules cancéreuses sont couvertes de l’hormone hCG, les protégeant ainsi de notre systeme immunitaire.
Aucune cellule de l’organisme autres que les cellules throphoblastes et les cellules cancéreuses ne produisent l’hormone hCG, ainsi un test de grossesse urinaire hCG positif prouve chez une femme qu’elle est soit enceinte, soit atteinte d’un cancer; chez un homme un test positif ne peut bien sur prouver qu’il est atteint d’un cancer.
Cela rend la biopsie assez obsolete, celle-ci étant tres dangereuse du reste car le potentiel de forcer une migration des cellules cancéreuses en perçant la tumeur est tres important.
Les enzymes pancréatiques trypsine, chymotrypsine et amylase sont capables de digérer le manteau protecteur de la cellule cancéreuse, quelle rapport avec la vitamine B17 ?… En présence de certains inhibiteurs dans
le corps la trypsine est désactivée et doit en l’occurrence réagir avec le cyanide d’hydrogene pour redevenir active. En cela, la vitamine B17 agit comme un co-enzyme de la trypsine, car elle a une molécule de cyanide qui l’aide a reeactiver la trypsine pour dissoudre la membrane protectrice de la cellule cancéreuse. Fabuleuse nature non ?
Pourquoi n’entend on pratiquement jamais parler de la vitamine B17 ?
Parce que le lobby pharmaceutique outre atlantique a discredité la substance et les médecins qui l’utilisaient en faisant publier un communiqué de presse en 1977 déclarant: “Le laetrile n’a été trouvé en possession d’aucune qualité préventive ou curative du cancer ni de qualité anti-métastatique.”
Cependant, le cancérologue en chef du centre de recherche contre le cancer de New York, le célebre Memorial Sloan Kettering Center, et responsable de la recherche qui mena a ce communiqué de presse, le professeur Kanematsu Sugiura déclarera a un journaliste qui l’interrogeait: “Dr Sugiura, continuez-vous a croire que le laetrile arrête la propagation des cellules cancéreuses ?” Il répondit: “Oui, je le crois”.
Le journaliste lui demanda pourquoi donc Sloan-Kettering centre était contre l’utilisation du Laetrile dans la lutte contre le cancer ? Sugiura répondit: “Je ne sais pas. Peut-être la profession médicale ne l’aime pas parce qu’ils font trop d’argent (note du traducteur: avec les methodes orthodoxes de traitement).”
Un autre professeur du Centre Sloan-Kettering Dr Lloyd Schloen, biochimiste, fit des tests avec le Laetrile combiné avec prise d’enzymes protéolytiques, le tout en injections sur des souris cancéreuses, il obtint un pourcentage de guérison des souris de… 100%.
De maniere préventive, la vitamine B17 peut se prendre en augmentant la prise quotidienne de substances nitrilosides, en mangeant (croquant) les graines d’abricots, de pêches, les pépins de pommes et de poires, le millet et autres sources riches en vitamine B17.
La prise peut également se faire en ingérant des gélules de synthese de Laetrile. Le professeur Krebs a suggéré une dose de 50 a 100 mg par jour a titre préventif. Le traitement étant lui plus efficace en intra-veineuse, il doit se faire sous supervision médicale. Le traitement nécessite également une prise de Zinc et d’enzymes pancréatiques comme nous l’avons vu précédemment.
Terminons cet exposé en laissant la parole a l’auteur du livre le plus complet écrit sur le sujet: G Edward Griffin qui écrit dans son livre: “World without Cancer, the Story of the Vitamin B17”, American Media, 1997:
“La plupart des médecins qui utilisent la Laetrile en thérapie anti- cancéreuse ont appris par l’expérience que leurs patients, une fois sortis d’affaire, pouvaient réduire leur niveau de dosage de Laetrile, mais s’ils l’éliminaient totalement, cela était sûrement une invitation a un retour de la maladie.
C’est pour cette raison que les médecins qui utilisent le Laetrile ne disent jamais que la substance guérit le cancer. Ils préferent le mot plus judicieux de contrôle de la maladie, implicant en cela une notion de continuité du processus.”
Bibliographie:
G. Edward Griffin, “World without Cancer, the Story of Vitmanin B17”, 1997, American Media
Ty Bollinger, “Cancer, Step outside the Box”, 2006, 2009, Infinity 510
Krebs, Ernst T, Jr, “The Laetriles, nitrilosides in the Prevention and Control of Cancer”, Naughton Founsdation, Montreal
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